François Cheng : l'éternité n'est pas de trop

François Cheng : l'éternité n'est pas de trop 1) L'éternité n'est pas de trop de F. Cheng (Auteur)

Présentation de l'éditeur
Au XVIIe siècle, à la fin de la dynastie Ming - époque de bouillonnement et de bouleversement, où l'Occident même était présent avec la venue des premiers missionnaires jésuites en Chine -, dans un monastère de haute montagne, un homme qui n'a pas encore prononcé ses vœux se décide à quitter
ce lieu de paix et de silence pour retrouver, trente ans plus tard, la seule femme qu'il ait jamais aimée. Un roman d'envoûtement et de vérité, récit d'une passion - celle d'un Tristan et Iseult chinois, avec ses codes et ses interdits aussi précis que stricts - qui n'est pas seulement affaire de cœur et des sens, mais engage toute la dimension spirituelle de l'être, ouvrant sur le mystère de l'univers et le transfigurant

2) Le Dit de Tianyi - Prix Femina 1998
François Cheng

François Cheng est un spécialiste incontesté de la poésie et surtout de la peinture chinoise à laquelle il a consacré depuis une trentaine d'années des essais qui font autorité. Son premier roman, Le Dit de Tianyi est nourri de cette connaissance intime de la culture chinoise, confrontée au regard d'un occidental. Il évoque la vie de Tianyi, un peintre qui a connu les bouleversements de la société chinoise dans les années trente et quarante avant de venir à Paris où il mène une existence précaire mais découvre une conception radicalement différente non seulement de l'art mais de la vie. Il repart en Chine alors en proie à la révolution pour tenter d'y retrouver les deux êtres à qui il tient le plus, Haolang son ami, et Yumei qui fut son amante. Mais l'époque n'est guère favorable aux retrouvailles et Tianyi se retrouve entraîné dans des drames qu'il ne peut maîtriser. Au-delà d'une aventure romanesque captivante et tragique, le roman offre une excellente approche de la civilisation chinoise par un de ses meilleurs spécialistes. Il a obtenu le prix Femina en 1998. --Gérard Meudal
Quatrième de couverture
Lors d'un voyage en Chine, l'auteur retrouve le peintre Tianyi, connu autrefois, qui lui remet ses confessions écrites. Tianyi a vécu l'avant-guerre dans une Chine en plein bouillonnement, encore imprégnée de ses traditions. Plus tard, durant les années cinquante, il a vécu en Occident, où il a connu la misère, mais aussi découvert une autre vision de l'art et de la vie.
De retour dans son pays soumis aux bouleversements de la révolution, il a voulu retrouver deux êtres chers Yumei, l'amante, et Haolang, l'ami. Mais une histoire dramatique les a emportés dans des-tourmentes où Tianyi, à son tour, sera pris... Par-delà les événements cependant, leur quête passionnée transfigurera le destin de chacun.

Poète, traducteur, essayiste, spécialiste des arts de son pays d'origine, François Cheng a su métamorphoser le témoignage vécu en une extraordinaire fresque romanesque, saluée par toute la critique et couronnée par le prix Femina 1998.

Rares sont les livres qui contiennent toute une raie. Plus rares ceux qui rassemblent dans leur profondeur plusieurs existences. Rares entre les rares ceux qui parviennent à unir deux mondes étrangers, à faire pressentir ce qui les relie par l'alchimie d'une mystérieuse et universelle communion. C'est ce que rient de réussir François Cheng dans une oeuvre incomparable.


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